Tu le sais sûrement, l’écologie est quelque chose de très important pour nous. Cependant, ce n’est pas parce qu’on est en voyage qu’on doit changer nos habitudes. En revanche, suite à notre voyage en Asie cet été, et notamment à Bali, on s’est demandé comment il était possible de gérer le zéro déchet en voyage.
J »ai donc demandé à des blogueuses de voyage dont le mode de vie tourne autour du zéro déchet, de participer à un article collaboratif pour nous aider à comprendre comment gérer le zéro déchet en voyage.

Comment gérer le zéro déchet en voyage
En revenant de notre voyage en Asie je suis tombée sur cette interview de Louise qui a voyagé 8 mois avec son mari, dans 19 pays, en ne produisant que 2,6 kg de déchets.
En comparaison avec son expérience, notre voyage en Asie fut un échec au niveau écologique. On a eu beau essayer de garder nos bonnes habitudes, on était sans cesse mis à dure épreuve… On a finalement laissé tomber le fait d’essayer d’expliquer notre point de vue aux locaux, pour essayer de profiter de nos vacances.
Je n’aime pas rester sur un échec. Je voulais comprendre pourquoi nous n’y sommes pas arrivés, et comment font les autres dans ce genre de situation. Quelles sont leurs problématiques et leurs solutions.
Je leur ai donc posé la question que je me pose encore aujourd’hui : Comment gérer le zéro déchet en voyage. Je leur laisse la parole.
Lauraki, maman zéro déchet
Quelques recherches avant le départ permettront de repérer si des magasins de vrac existent là où vous voyagerez, et surtout de dénicher les meilleurs marchés aux producteurs locaux (voire bio).
J’ai en permanence avec moi mon kit zéro déchet, il me permet de minimiser mon impact en diverses circonstances, que ce soit pour des achats à l’épicerie, ou lors d’une sortie au restaurant. Mon kit idéal contient :
- 1 gourde pour chaque membre de la famille
- 1 sac en tissu qui me permet de ranger tous mes ustensiles
- 1 cuillère et 1 fourchette réutilisables
- 1 paille en inox
- 1 petite serviette de table
- 1 paire de baguettes chinoises
- 1 grand linge (torchon ou grande serviette de table)
- 2 ou 3 sacs à vrac et 1 sac pour mettre vos achats (vous pourrez y mettre vos fruits et légumes ou votre pain)
- optionnel : un contenant pliable en silicone
Vous pouvez trouver tout cela dans votre cuisine ou dans votre matériel de camping. La paille n’est pas obligatoire, mais j’aime bien en avoir une, surtout avec une petite fille. Le contenant vous permettra par exemple d’acheter des olives en vrac au marché ou de rapporter vos restes du restaurant pour ne pas les gaspiller. Et j’ai toujours dans ma valise mon dentifrice acheté en vrac, mon déodorant maison, un pain de savon et ma brosse à dents en bambou.
Je suis bien moins parfaite en voyage qu’à la maison, mais au fur et à mesure de mes voyages, je m’améliore. Un pas à la fois, un déchet en moins à la fois !
⇢ Retrouve un article complet sur son blog : Le zéro déchet en voyage

Photo : copyright Laure Caillot/Lauraki, maman zéro déchet
Chrys et Alex, Wait & Sea
Le zéro déchet, c’est un crédo qu’on essaie d’appliquer du mieux qu’on peut depuis un certain temps déjà, et surtout en voyage. Première chose à savoir, on n’est pas irréprochables sur le sujet, on fait avec ce qu’on a, ce qu’on peut, et des fois, on n’y arrive pas. Que ce soit à la maison ou ailleurs.
Quand on voyage, 90% du temps, on se retrouve en pleine nature, soit avec une tente, soit avec Jasmine, notre 4×4 aménagé. Concernant l’hygiène en général, on est parfaitement rodé et on ne génère quasiment rien : tout est solide, du dentifrice, en passant par le déo, le savon ou le shampoing. On se lave le visage avec du rhassoul, et on pousse le vice à avoir brosse à dent, oriculi et peigne en bambou. Là on est pas mal. On en parle dans cet article d’ailleurs.
Le plus dur, c’est avec la nourriture. On fait attention, on achète un maximum en vrac, local, on boycotte les grandes surfaces, mais des fois il se trouve que pour x ou y, on n’y arrive pas. En voyage c’est pareil. Pour les courtes durées, c’est assez simple, on arrive à gérer ça assez intuitivement : on prépare et on fait les courses à l’avance, on achète que du frais sur place et de ce fait, on cuisine, on ne crée aucun déchet.
C’est la base pour débuter, il faut tenter sur un week-end, puis sur de plus longues périodes. Cependant, le sujet se corse vite dès qu’on part un tant soit peu longtemps à l’étranger, au delà de 10 jours. On improvise très souvent et on part rarement dans les capitales touristiques. Mais une fois les réserves vidées, va trouver une épicerie de vrac dans le vieux village de perpette les oisilettes. On se retrouve donc avec des produits sur-emballés, et des poches plastiques, parce que même si on essaie de faire comprendre que non, on n’en veut pas, on se retrouve avec du plastique dans les mains 9 fois sur 10 avant qu’on ait fini de parler.
Selon l’endroit où l’on se trouve, selon la culture du pays, sur une longue durée c’est un parcours du combattant pour s’y tenir. Quand notre première nécessité est de trouver à boire (merci les packs d’eau pour survivre dans le désert) ou de manger (merci les produits sur-emballés des épiceries paumées ou le grand supermarché), nous n’avons pas d’autres choix que de nous y plier, et ce, malgré nos profondes convictions…
⇢ Retrouve leur série d’articles pour mieux consommer sur leur blog



Photo : copyright Wait & Sea
Carole, Fondatrice de mescoursesenvrac.com
Un voyage zéro déchet c’est possible, mais c’est compliqué. Autant chez soi, il y a beaucoup d’astuces toutes simples que l’on peut mettre en place pour réduire ses déchets, et adopter une consommation responsable. Mais dès que l’on sort de chez soi ça se complique.
Et ça commence par le choix du pays. Si l’on va en Californie, dans les pays scandinaves ou dans certains pays Européens, on peut éventuellement s’en sortir sans trop d’emballages. Par contre, si on va dans d’autres pays où le plastique est monnaie courante, où le vrac n’existe pas (encore) et où la vaisselle jetable est la norme, ça devient carrément impossible.
Je dois bien l’admettre, je ne comprends pas vraiment mes collègues blogueuses zéro-déchet qui s’embarquent dans des tours du monde zéro-déchet. Perso, lorsque je voyage, je mange souvent à l’extérieur et je ne cuisine pas à tous les repas, je vais plutôt essayer de goûter les plats locaux, malgré leurs emballages souvent plastique etc. N’oublions pas que le voyage est fait pour la découverte, l’aventure, les rencontres, l’apprentissage d’autres cultures… Et non l’inverse ! Ce n’est pas à nous d’expliquer aux autres comment ils doivent consommer.
Alors bien sûr, on peut tout de même limiter la casse en se préparant au maximum et en s’organisant : cosmétiques solides, gourdes, couverts et vaisselle lavable (de randonnée par exemple), sacs à vrac, applications mobiles pour éviter les prospectus etc. Il y a plusieurs supers produits qui existent aujourd’hui et qui permettent à la fois de ne pas produire de déchet et de voyager léger.
Bref, un voyage zéro-déchet oui, mais sans perdre de vue l’objectif de partage et d’expérience de chaque voyage !
⇢ Retrouve l’article complet sur son blog : Obstacles et bonnes pratiques pour un voyage zéro déchet

Photo : copyright Carole Lymer/Mes courses en vrac
Passer des vacances avec sa moitié ou avec des amis n’offre pas les mêmes possibilités d’être zéro déchet. Mais Quels que soient mes vacances, j’ai toujours avec moi un grand sac en toile et plein de petits sacs en tissu pour y glisser d’éventuels achats, ainsi qu’une ou deux boîtes en plastique (légères et pratiques pour transporter un repas ou acheter des aliments), une gourde en inox qui garde le chaud comme le froid, une serviette de table, des mouchoirs en tissu et des couverts.
Ma démarche zéro-déchet est personnelle et je ne veux surtout pas qu’elle soit contraignante pour les autres ni qu’elle me mette en porte-à-faux avec eux (on est là pour profiter les uns des autres, pas pour que je les assomme de mes considérations écologistes qu’ils connaissent déjà) au moment de faire des achats. En revanche, dès que je peux proposer une solution économe en emballages, j’ouvre ma bouche et fais en sorte qu’ils puissent se rendre compte qu’avec de l’anticipation, on peut faire beaucoup.
Je me suis aperçue, lors de mes cinq jours de vacances en Corse dans un village de montagne avec sept amis, que le zéro-déchet aurait été une aventure assez compliquée là-bas. Je suis arrivée après tout le monde, les courses avaient déjà été faites au supermarché, mais s’il avait fallu aller au marché, on aurait dépensé plus d’argent alors que tout le monde avait un budget restreint, il aurait fallu trouver un marché dans les environs dès le début de notre séjour (chose pas si aisée) et il aurait fallu être équipé de plein de boîtes et bocaux, ce qui n’était pas le cas.
Je n’ai pas pu apporter ma contribution verte à ces achats mais j’ai pu influer par la suite sur le choix des assiettes -non jetables- pour le pique-nique, par exemple. Ces moments m’apprennent à faire avec les circonstances et à accepter que je ne peux pas être tout le temps parfaitement zéro-déchet.
En revanche, quand je suis en vacances avec mon copain, nous parvenons comme à la maison à produire très peu de déchets. Nos réflexes sont les mêmes : vrac, achats locaux et qualitatifs, composter quand on le peut et refuser les emballages plastique.
⇢ Retrouve sur son blog un article complet sur Sa trousse de toilette de voyage pour deux personnes

Photo Marseille, sur une île du Frioul : copyright Lucie/Je deviens écolo
Julien et Carole, la Greener Family
Si la démarche zéro déchet est bien ancrée dans notre quotidien, il en est tout autrement en dehors de nos bases. Que ce soit pour un week-end ou des vacances, à l’étranger ou pas, nous touchons les limites de notre organisation et de notre équipement.
Il y a quelques essentiels dont nous ne nous séparons jamais. En premier lieu, la gourde qui permet de s’affranchir de bouteilles en plastique pour boire. Par contre, nous avons une grosse interrogation sur son utilisation en voyage hors de France. Peut-on la prendre dans un avion si sa contenance dépasse 100ml (consignes de sécurité obligent), comment la remplir avec de l’eau dans un autre pays qui n’a pas d’eau courante comme nous le connaissons en France ? Quelles alternatives pour continuer à éviter la consommation d’eau en bouteille ?
Ensuite, nous avons souvent sur nous un gobelet réutilisable qui permet de se faire servir un verre/cocktail et ainsi éviter un éventuel verre en plastique encore bien présent autour de nous.
Une serviette en tissu fait également partie de notre kit en déplacement. Là encore, nous évitons facilement toute serviette en papier lors des repas. Si nous arrivons facilement à refuser une serviette en papier, c’est moins automatique avec la paille lors de soirée à cocktail et pourtant, nous avons aussi des pailles en inox réutilisables …
Et puis il faut manger… Jusqu’à maintenant, nous avons eu la chance de nous déplacer « comme à la maison ». Cela consiste donc à retrouver sur place nos habitudes d’achats. L’office du tourisme local (en France en tout cas) nous permet de savoir où et quand ont lieu les marchés locaux pour nos achats. Nos sacs en vrac, bocaux ou cabas sous le bras, nous voilà armés pour des achats sans emballage. Pour le sec (pâtes, riz, céréales…) il faut pousser un peu plus la recherche de magasins en vrac. La difficulté, par contre, réside dans tous les déchets organiques que nous générons maintenant. Comment trouver un compost à destination ? À défaut, nos poubelles regrossissent de 30% !
Conscients de tout cela, nos vacances n’en restent pas moins des vacances avec un leitmotiv qui reste que cette démarche zéro déchet ne doit pas être contraignante.
⇢ Retrouve un article complet sur leur blog : Nos 5 conseils pour 1 week-end zéro déchet

Photo : copyright la Greener Family
Camomille et Sencha au Japon
Nous ne sommes pas encore zéro déchet à 100% chez moi, on fait plein de gestes pour les réduire, mais on est encore loin de seulement un bocal ! Au quotidien, ça devient de plus en plus facile mais en voyage, c’est un peu différent… Au moment de préparer la valise, on essaye de n’emporter que le strict nécessaire mais on pense surtout à ne rien oublier d’important, pour ne pas avoir à racheter la même chose là-bas. Pour les cosmétiques, depuis toujours je récupère les petits récipients des miniatures, ainsi, pas besoin d’acheter des mini-formats spécial voyage, on transvase simplement nos produits du quotidien dedans et ça évite de créer de nouveaux déchets !
Sur place, ça se complique ! On mange beaucoup à l’extérieur et s’acheter un sandwich ou une salade pour manger sur le pouce génère pas mal de déchets. Entre les emballages alimentaires, les couverts en plastique et les serviettes… difficile de les éviter ! J’emmène toujours ma gourde pour éviter les bouteilles en plastique, mais pour les prochains voyages je pense que j’emmènerai aussi des boîtes pour qu’on puisse se préparer des snacks à partir de produits bruts et éviter la nourriture à emporter.
Tenter de refuser les sacs plastiques peut être aussi un peu délicat quand on est dans un pays dont on ne parle pas la langue ! Avec mon copain, on a particulièrement été frappés par le sur-emballage ultra répandu au Japon, c’est surprenant dans un pays qui parallèlement est à l’origine de nombreuses alternatives zéro déchet (bokashi, furoshiki, tawashi…) ! On essayait de choisir les produits les moins conditionnés possible mais ça n’a pas toujours été simple.
Si réduire ses déchets en voyage est parfois plus compliqué, comme dans la vie de tous les jours chaque petit geste compte, et c’est déjà génial si tout le monde prend conscience que la préservation de la planète ne doit pas prendre de vacances.

Photo : copyright Camomille et Sencha
La démarche zéro déchet, même si elle est ancrée dans un quotidien, n’est donc pas si simple que ça à mettre en place en voyage. En effet, la préservation de la planète ne prend pas de vacances, mais il faut garder en tête que chaque petit geste, même minime, compte et peu faire la différence sur du long terme.
Il est donc important de profiter de nos vacances sans se casser la tête, tout en conservant les quelques principes de bases ancrés dans notre quotidien zéro déchet. Après tout, le voyage est un moment de partage et de détente. Pas de stress, on fera sûrement mieux la prochaine fois car on sera sûrement mieux préparés 😊
Le zéro déchet t’intéresse ? Tu as peut-être d’autres conseils ou astuces à partager avec nous ? Tu débute et tu te poses tout un tas de questions ?
N’hésite pas à commenter, épingler et partager cet article, la planète à besoin de nous !

Bonjour et merci pour ce très bel article.
je suis directeur d’une petite agence de voyage implantée à Madagascar et nous organisons régulièrement des trekkings dans un massif isolé et protégé. Nous avons déjà mis en place des douches portatives, des toilettes sèches amovibles, des cuiseurs à économie de bois, nous traitons nos déchets également.
Pourriez vous me donner des conseils sur :
– comment améliorer, par des gestes simples, notre politique de gestion des déchets dans nos treks ?
– comment préparer nos voyageurs et quels conseils à leur donner avant leur arrivée à Madagascar ?
Merci et félicitations pour votre engagement
Bonjour, merci beaucoup pour ce retour. Il y aurait pleins de conseils de base à mettre en place pour réduire les déchets. La meilleur gestion des déchets reste de ne pas avoir ! La préparation des clients peut et doit se faire effectivement en amont, vous pourriez créer une brochure explicative du pourquoi et du comment de votre engagement envers l’environnement. Nous pourrions peu-etre en discuter plus longuement par mail, n’hésitez pas à nous contacter ! 🙂 Et bravo pour votre prise de conscience et vos efforts de tous les jours !
Je n’ai pas l’ambition d’être une zéro déchet mais je suis sensible à cette problématique. Il y a vraiment plein de bonnes idées à prendre dans cet article, merci !
Merci Lauriane ! Chaque petit geste compte, être zéro déchet c’est un long processus, mais même si le concept n’interesse pas, il interpelle et permet de faire réfléchir à notre consommation 😉
Merci pour le partage ! Pour répondre à la Greener Family, on peut amener sa gourde dans l’avion, même au-delà de 100 ml. Je m’arrange pour qu’elle soit vide avant de passer la sécurité. Ensuite, je la remplis dans les fontaines de l’aéroport et dans l’avion en demandant aux hôtesses ou stewards. Cela ne pose aucun problème, on fonctionne ainsi depuis près de 2 ans en voyage. Ensuite dans les pays où la question de l’eau potable est plus discutable, il y a les pastilles ou certains filtres vendus dans des boutiques de plein air très efficace que l’on met dans la gourde.
Merci à toi Laure! Nous aussi notre gourde fait 600ml mais vide elle passe partout et s’accroche très facilement à mon sac. J’ai eu le soucis à Bali je l’avait ré rempli après le contrôle de sécurité mais ils m’ont demandé de la vider avant l’embarquement… heureusement que j’ai pu demander à une hôtesse de me la remplir dans l’avion pour ce qui est de l’eau potable aucun soucis en Australie. Un peu plus dur en Asie mais à Bali et en Malaisie on a très souvent trouvé des fontaines d’eau minérale pour ré remplir notre gourde. On pensera aux filtres pour la prochaine fois !
Génial de lire tous ces témoignagnes, ça va nous servir aussi pour progresser ! En tout cas ce qui est rassurant, c’est que tout le monde galère un peu en voyage, surtout quand il est alternatif 🙂
Merci à toi pour ce témoignage ! Ce que je repère c’est que les problèmes rencontrés sont un peu les même chez tout le monde, ce qui me rassure aussi !
Merci à tous pour ces conseils ! Pour répondre à Julien et Carole, il existe plein de systèmes de purification de l’eau, notamment des pastilles purifiantes ou des grosses pailles filtrantes réutilisables une centaine de fois je crois. (probablement mon prochain achat, pratique quand on a soif au milieu de nul part!)
On s’est récemment pas mal équipé avec de la vaisselle réutilisable et des cosmétiques solides pour le camping et déjà rien qu’avec ça on réduit bien nos déchets.
Après c’est certain que selon le type de voyages/ vacances et le pays visité ça devient plus ou moins facile de faire attention, mais les mentalités changent petit à petit et c’est déjà un grand pas !
Hello Sarah Merci pour ce commentaire. On avait aussi pensé aux pastilles mais c’est pas vraiment zéro déchets… La paille filtrante est une option à considérer… Notre plus gros effort se porte également sur la trousse de toilette écolo et zéro déchet ! On a vraiment eu du mal en Asie, Bali et la Malaisie on nous prenait souvent pour des fois parce qu’on ne voulait pas de sac plastique ou alors on nous mettait 2 pailles quand on demandait sans !!
La meilleure solution est le steripen ( nom commercial ) qui purifie 1l d’eau en 90 sec. Nous l’utilisons sur la route depuis le Sri Lanka, l’Inde, le Pakistan, la Mongolie depuis plus de dix mois !!
Pour répondre à The Greener Family, je fais tjs passer ma gourde vide de 1L dans mon bagage cabine et j’ai jms eu de soucis. Je la te-remplis avec de l’eau du robinet juste apres le contrôle de sécurité (car j’aime bien avoir de l’eau avec moi pour boire avant et pendant le vol) je fais tjs ça dans les pays où l’eau est potable. Ça évite aussi de payer une mini bouteille les yeux de la tête après avoir passer la sécurité !
Nous aussi nous avons toujours notre gourde vide sur nous. On a eu un soucis à Bali, on l’a te-rempli après le contrôle de sécurité mais ils m’ont demandé de la vidé à l’embarquement… j’ai faillit gueuler mais j’ai pu demander à une hôtesse de me la remplir gratuitement dans l’avion (compagnie low cost).